Après avoir vigoureusement dénoncé les massacres en cours au Nord et Sud-Kivu
et appelé à l’unité derrière le Président Félix Tshisekedi pour défendre la souveraineté nationale, le patriote Harold Badibanga a été victime d’une attaque meurtrière dans la nuit du jeudi 6 mars 2025. Ce nouvel acte de violence soulève de nombreuses interrogations sur les menaces pesant sur les voix engagées dans la défense de la nation.
Un militant ciblé après ses prises de positionHarold Badibanga, figure engagée dans la lutte pour la souveraineté de la RDC, a récemment multiplié les interventions médiatiques dénonçant les crimes perpétrés au Nord et Sud-Kivu. Il a notamment mis en cause l’implication de Kigali dans ces atrocités et exhorté la population congolaise à se mobiliser derrière le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour défendre la patrie contre « nos ennemis rwandais et leurs pantins ».Ces déclarations courageuses n’ont manifestement pas laissé ses adversaires indifférents. Dans la nuit du jeudi 6 mars 2025, aux alentours de 23h, Harold Badibanga a été victime d’une attaque meurtrière. Si les circonstances précises de l’agression restent à éclaircir, cette tentative d’intimidation semble s’inscrire dans une série de pressions visant ceux qui dénoncent l’infiltration et l’instabilité orchestrées à l’Est du pays.
Un contexte marqué par l’impunité et les menaces persistantesCet acte de violence survient alors que le gouvernement congolais a récemment réaffirmé sa volonté de documenter rigoureusement les crimes imputés au régime de Kigali et de garantir une prise en charge judiciaire des dossiers liés aux exactions commises contre la population congolaise. Cependant, les menaces contre les militants et les défenseurs de la souveraineté nationale restent alarmantes.Harold Badibanga n’est pas un cas isolé. Plusieurs activistes, journalistes et figures politiques ont déjà fait l’objet de menaces ou d’attaques après avoir dénoncé l’implication étrangère dans les conflits en RDC. Cette situation interpelle sur la nécessité d’un renforcement des mesures de protection pour les voix patriotiques et engagées.
Un appel à la justice et à la vigilanceFace à cette attaque, de nombreuses voix s’élèvent pour exiger des enquêtes approfondies et une justice exemplaire. Il est impératif que les autorités congolaises prennent leurs responsabilités pour protéger ceux qui osent s’exprimer contre l’agression dont le pays est victime.Le cas Harold Badibanga rappelle que la bataille pour la souveraineté et la vérité se heurte encore à des forces déterminées à réduire au silence les voix dissidentes. Mais au-delà de l’indignation, cette attaque doit renforcer la détermination du peuple congolais à défendre son intégrité territoriale et à exiger justice pour toutes les victimes du conflit à l’Est.
Le combat continue.
